Recherche de méthodes...

Après ses cours, Seïre, dans son immense sérieux habituel, décida d'aller faire un tour dans la bibliothèque, car il était curieux de savoir quels genre de documents s'y trouvaient.

Il entra dans la grande pièce, meublée de hautes étagères remplies de livre. Il y en avait partout. C'était très impressionant.

**Il y en a au moins autant qu'à Todaï !**

Il fit rapidement le tour de la pièce, cherchant le rayon art. Il le trouva. Il se composait de trois étagères, et il chercha un livre au hasard.
Il le prit, et regarda attentivement la couverture.

C'était un ouvrage sur l'art académique. Il le feuilleta d'un air interessé, debout, seul dans la grande bibliothèque.
C'est alors qu'il entendit un bruit de talon dans le couloir.

*je suppose qu'il aime les bibliothèques...il était étudiant dans une grande universitée..*

Azaléa ouvrit la porte batante, et marcha droit vers le rayon des livres d'art , tout les étudiants se retournèrent quand il virent la jeune proviseur adjointe passé dans les rangés de tables, laissant bouger ses cheveux noir-violet au rythme de ses talons.
Elle tourna dans la rangés des livres d'art et le vit. Elle marcha d'un air déterminé, regardant a droite a gauche, il n'y avait personne dans cette rangée, son ventre volumineux était très encombrant.

"Toi, je t'ai cherché partout ! Nan mais regarde mi ce ventre énorme -_-..je ressemble a un mongolfière...et encore, je peux presque plus mettre les habits que je veux et j'ai du en faire faire sur mesure..."

Après lui avoir dit ses quatres vérités elle passa ses bras autour du coup de Seïre et l'embrassa tendrement.

"Toujours dans les livres toi...sort un peu fénéant."

Comme Seïre l'avait deviné, ce fut bien Azaléa qui déboula dans la rangée de livre où il était. Même s'il le savait, la vue de son ventre le perturba un peu. Cela faisait à peine une semaine qu'ils avaient fait l'amour !
Elle se plaignit de son ventre. Il rétorqua gentiment :

"Moi, je te trouve ravissante ! La grossesse te va bien !"

Il lui fit un sourire, et elle se pendit à son cou, puis l'embrassa.

"Tu me cherchais ? Comment as-tu sû que j'étais là ?"

Il essayait de se détacher d'Azaléa sans la brusquer. Bien qu'il ait envie de la prendre dans ses bras, il ne voulait pas que tout le monde soit au courant, ce qui ne manquerait pas d'arriver, puisque la jeune femme était enceinte.

Elle se remit devant lui et croisa les bras.

"C'était évident, un ex-etudiant de Todaï, où peut il se trouver...soit a la bibliothèque, soit a la serre regarder les fleur ou se promener, soit dans on bureau entrain de bosser ou en cours. J'ai commencer par le plus évident, la bibliothèque, et je t'ai trouvé, je sais je suis trop forte."

Elle regarda son ventre, géné de son empleur.

"Moi je me trouve hideuse comme ça, et ces crétin d'étudiant que me regarde paser...qu'est ce qu'il me trouve ? qu 'est ce qu'il veulent ! Bon a part ça ^^...tu fais quoi ce soir, je pensait qu'on pouvait aller en ville pour quelques affaires pour le bébé, où pour nous, ou trouver un love hotel ? non ça c'était une blague."

Elle ris et regarda Seïre, vraiment elle n'aurait jamais su que c'était son type , d'homme, et elle n'osa pas lui dire que c'était la première fois qu'elle couchait avec un homme..vu son caractère et son physique a elle, il trouvera ça étrange....

Seïre fut surpris de la façon dont elle prenait les choses, et agréablement surpris. Nombre de femmes se seraient affolées et auraient avortées, mais Azaléa non. Peut-être aussi que les phénix noir ne peuvent pas avorter ? Il n'en savait rien.
Elle proposa d'aller en ville pour acheter quelques affaires pour l'enfant, et Seïre rougit brusquement.
En effet, il avait prévu d'aller en ville le soir même, seul, pour acheter une bague, pas trop chère si possible, puisqu'il ne roulait pas sur l'or, à Azaléa.
En effet, il comptait la demander en mariage, puisqu'ils allaient avoir un enfant.

"Ah, euh.... d'accord si tu....si vous voulez, mademoiselle d'Azarias."

Dit-il très vite alors qu'une élève passait dans leur rayon.

Puis il se rapprocha un peu, pour lui chuchoter à l'oreille, quand même pas trop près, car l'élève était toujours là.

"Mais, tu veux qu'on habite ensemble ? Explique toi un peu mieux, ce n'est pas clair pour moi."

Par là, il voulait savoir ce que concrètement Azaléa pensait de leur couple, et si elle voulait vivre avec lui.

Azaléa avait vut l'élève entrer dans leur rayon. Elle répondit a Seïre toujours an chuchautant.

"Pour l'instant nous somme dans le pensionnat, et nos chambres sont pas très loin a côté, mais oui je pense que ce serait mieux que je vive avec toi ou l'inverse pour l'enfant...sinon je pense qu'il ne sera pas heureux ou ne comprendra pas..."

Elle avait vécut la même chose et était partis avec sa tante donc elle savait de quoi elle parlait mais n'alerta pas Seïre. Soudain elle eut une illumination.

"Oh dailleur tu veux savoir le sex de l'enfant ? Comme tu veux, je le sais mais si tu ne veux pas le savoir ben je te le dit pas ! "

L'élève partis sans se douter le moins du monde que Seïre et Azaléa étaient ensemble. Elel la regarda partir du coin de l'oeil et attendit un instant...puis sauta au coup de Seïre pour ,de nouveau, l'embrasser.

*Il ressemble a Yukinari quand il était plus jeune...mais a qui je pense moi >.< !! *

"Bon on va en ville avant que les magasins ne ferment ce serait bète ^^ !"

Seïre fut content lorsqu'Azaléa avoua être d'accord pour qu'ils vivent ensemble.
Depuis Noriko, il détestait vivre seul. Mais pourquoi il pensait encore à elle ? Elle avait laissé une trace indélébile dans son coeur...et cette cruauté ! Jamais elle n'avait voulu lui dire le sexe et le nom de leur enfant.
Comme si elle avait lu dans ses pensées, Azaléa lui demanda s'il voulait connaitre le sexe de leur enfant. Le rythme cardiaque de Seïre s'affola. Bien sûr, il en avait terriblement envie.

"Oui, j'aimerais le savoir..." Murmura t-il.

L'élève s'en alla, et la jeune femme se suspendit de nouveau à son cou, puis l'embrassa.

"Et si on allait en ville, avant que les magasins ne ferment ?"

Seïre hocha la tête à la question d'Azaléa.

"Tu as raison, allons-y."

Il replaca le livre dans son rayon, car il l'avait gardé à la main pendant leur discussion.

[HJ : on poste en ville directement ou tu me réponds encore ici ? A toi de voir !]