Kéret était à présent sur que ce n'était pas du tout la première fois pour Edwige. Il n'était même pas certain qui s'agisse seulement de la centième fois ! Elle savait exactement comment s'y prendre, quoi faire pour lui donner toujours plus de plaisir.
Elle allait de coup de reins en tour de hanches, et Kéret se laissait faire, submergé par l'ardeur de la jeune fille. Il haletait, entre des soupirs de plaisir, goûtant à l'extase que lui procurait le savoir faire d'Edwige.
Il n'en pouvait plus, et tandis qu'elle allait plus vite encore, il sentit monter en lui la jouissance. Apparemment, elle avait décidé d'en finir.
Il crispa ses mains sur les hanches de la demoiselle, et, avec un dernier cri de plaisir rauque, explosa dans le ventre de la jeune fille, en plusieurs sacades.
Il avait chaud, extrêmement chaud, mais la gardait serrée contre lui. Il ne voulait plus la lâcher, il avait peur qu'elle s'enfuie... Il murmura tout en caressant son corps si doux :
"Edwige... ma douce, ma belle edwige..."
Les battements de son coeur se calmaient peu à peu, laissant place à une sérénité sans pareille, à un amour qui dévorait tout.