Arrivée de la bibliothécaire dans sa bibliothéque.

Après s'être débarassée de ses sacs dans sa chambre, Yumi n'avait eu qu'une idée en tête : *Comment c'est une bibliothéque de pensionnat???*

Elle marcha le plus vite qu'elle pus vers son nouveau lieu de travail. Les clès cliquetaient entre ses mains impatiente de retrouver leur serrure.
Un peu éssouflée par son empressement, Yumi pris le temps de reprendre on souffle avant de pénetrer dans ce lieu de connaissance qu'elle attendait.

Le "clic" de la serrure qui cédait retentit, puis le grincement de la porte et là...une gigantesque pièce de style 19e apparut. Les yeux de Yumi s'ouvrirent grands. Il y avait des étagères entières de vieux livres et dans des vitrines étaient exposés quelques parchemins des premières écritures du Japon. On aurait presque dit un musée et tout y était authentique.
De grandes fenêtres laissaient pénetrer la lumière dans cette salle immense qui sentait le vieux livres (c'est pas qu'ils sont pourris mais un vieux livre ça sent).
Impressionner par la taille de cette bibliothéque, Yumi osait à peine avancer de peur de faire une bêtise. Arrivée au niveau de son comptoir elle se laissa tomber sur sa grande chaise en bois.

(c'est mieux comme ça?)

Naganori arriva a l'ouverture de la bibliotheque et une trentaine d'éléves etaient deja là,il se mit dans un epetite file pour parler a la bibliothequaire

*je voulais aller au dortoir et je me retoruve a la bibliotheque......bon ben maintenant que je suis la autant faire des recherches*

-Savez vous ou sont les livres et revues scientifiques

Il ceci avec un alrge sourire pour mieux se faire apprecier

*Si on peut avoir des amis autant en profiter*

Il montra une cartes montrant qu'il etait proffesseur et qu'il pouvait donc prendre plusieurs livre sans avoir a signer ou a payer quoi que ce soir

HORS RP : La bibliotheque est tres frequenté, la preuve en est faite des messages deja postés ici. Ton post ne correspond donc pas a la linéarité de l'histoire du pensionnat, je te demanderais donc ,s'il te plait, de le rectifier...
(petite precision sur l'histoire de la bibliotheque : les livres qui y sont entreposé sont la propriété de la famille Hikari depuis des générations...Ils sont donc tres anciens et tres chers au coeur de mon père le proviseur^^)

Guren qui se balladais toujours avec cet air sans expression s'arrêta net quand il vit la bibliotèque, il fit toujours la met tête mais semblait très attiré a y rentrer:


Il vit une jeune femme au comptoir et décida d'entrer, il regarda a droite a gauche tout les rayon d'anciens livres, il avait hate de tous les lires !
Il s'arrêta devant la jeune fille, le regard perçant, il la dévisagea.

"Escusez moi, vous savez si il y a des livre sur l'ère Meiji ? Sinon si vous savez pas c'est pas grave j'irai regarder moi même, ça ne me gène pas..."

Il s'adossa sur le bureau de la femme en attendant la réponse, puis il plissa ses yeux jaune.

"Vous avez quel âge vous faite jeune ! Mais je pense que vous avez plus de 20 ans malgré les apparences.."

Il regarda sur le côté et vit un homme au cheveux rouge a peut près comme lui mais plus clair.

*Qui est-ce..il a encore un peu d'aura de Ruina....bah il doit pas etre méchant....*

Quelle étrange personne se trouvait encore face à Yumi? Il était gigantesque et étrangement habillé, mais le plus surprenant était ses yeux et l'odeur d'animal qu'il dégageait. Il avait quelque chose d'inhumain.
La jeune fille se leva de son siège pour être à la hauteur de son interlocuteur. Tout près de son visage, elle le fixa. Elle ne pouvait quitter des yeux ceux de l'homme.

" Vous aussi vous ne faites pas votre âge..."

Un long moment ils se dévisagèrent. Yumi trouvait qu'il avait quelque chose de familier. Elle ne l'avait jamais vu auparavant, ça elle en était certaine, mais elle sentait qu'il avait en lui une chose connue.
La bibliothécaire finit pas se rasseoir à sa place. Cet homme avait tout de même demandé un renseignement.
Avant qu'il n'arrive Yumi avait trouvé un plan de la bibliothéque et une lettre avec toutes sortes d'instructions.

"Bien sur que nous avons des ouvrages sur l'histoire du Japon et particulièrement sur l'ère Meiji. Vous les trouverez dans la première rangée à partir du fond. C'est écrit dessus. Bonne consultation."

Elle s'inclina et lui sourit, attendant qu'il s'éloigne.

Pendant que celle-ci le regardait Guren en profitait pour dévisageait plus précisement la jeune fille, il ne sait pas pourquoo mais plus elle le regardait et plus il se sentait gêné...puis elle dit que les livres sur l'ère Meiji était dans la première rangée a partir du fond, il s'inclina et marcha vite très vite jusqu'aux livres et en pris quelqu'uns et alla s'assoir pile a la table le plus près du bureau de la jeune fille, son odeur de fleur de jasmin et autre avait embaumé toute la partie ou il c'était déplacé, au moindre bruit il détournait les yeux, aux moindres chuchottement il lançait des regard en bié vers ces personnes.
Il ne mit que quelques minutes avant de fermer les deux livres soupirant.

"La plus part de ses témoignage son faux ou fait par des traîtres...ridicule ces livres d'histoire..."

Il grommela un moment et alla les reposer, il retourna vers la jeune femme qui sembalit s'ennuier, il recommença a la dévisagea de ses yeux jaune.

*Elle était une tête d'enfant c'est adorable, on dirai Ruina en plus frippone..*

"Désolé si je vous regarde vous m'intriguer."

Il se demandait comment elle allait réagir a cette phrase, il venait de réaliser que ça ne se faisait pas de dire cela..

""Je vais vous faire une confidence. Vous m'intriguez aussi. Vous n'êtes pas...humain.""

Guren sourrit quand Zurui lui fit ces confidences. Elle avait bien remarqué qu'il n'était humain ,dailleur il venait de le remarquer il ne le cachait pas du tout...il fit un sourrire assez bizard, mélange de honte et d'amusement.
Elle lui demanda ensuite ce qui l'intrigait chez elle...

"Et bien...tout d'abord vous etes vraiment petite..non ce n'est pas pour ça en faite, je sait pas vous dégager une aura assez étrange et puis votre apparence d'enfant, et le faite que je vous intrigue peut etre aussi ^^ c'est rare que je m'interresse a quelqu'un pour moi des personnes en vie meurent tous un jour, on se croise et puis voilà, mais là je suis intrigué par cette petite demoiselle."

Il s'approcha de plus en plus près de la jeune fille qui essayait d'etre la plus grande possible, il leva légèrement son menton et lui déposéa un baiser sur son front, a la fois doux et rapide.
C'était la première fois que Guren était aussi gentil et proche de quelqu'un, en faite les seuls fois où il était proche de quelqu'un c'est parcequ'il devait le tuer mais la c'était totalement différent, il avait eut comme une petite voix quil lui disait "dépose un léger baiser sur le front sans la brusquer".

"Vous sentez vraiment bon Mlle."

Dès que Tifa eut passé le grand portail elle partit en un magnifique sprint pour échapper a Mitsukuni, elle y arriva car il avait de petite jambe donc ne courrait pas trop vite...entrer dans le pensionnat elle fut émerveillé par tant de beauté, elle monta un grand escalier de marbre noir et arriva directement dans une magnifique bibliohtèque, elle ne put s'empêcher d'ouvrir la bouche er dire "magnifique", elle dû le dire un peu fort car aussitôt tout les regards se tournèrent vers elle, filles comme garçon la dévisagèrent, elle se sentit rougir et fit vlote face et se retrouva nez a nez avec un immense personnage.

*Que, que quoi ! C'est quoi ce pensionnat....*

Elle se dirigea dans les rayons se sachant que penser de tout cela, elle entendit une petite voix se rapproché de la bibliothèque, elle se précipita d'un pas rapide derrière une étagère faisant semblant de lire quelque chose, soit c'est son esprit pervers qui fut attoré par ce livre soit c'était une coincidence mais elle tomba sur un vieux livre de SVT sur la reproduction humaine...elle voulut femer le livre mais impossible le petit bonhomme blond était déja devant la porte d'entrer a scruter de son regard enfantin tout les rayons de loins...
Tiifa regardait a droite a gauche pour trouver une sortie mais impossible. Ces yeux tombèrent surent ceux de la bibliothécaire, elle la trouva très mignone et son coeur fit un bon dans sa poitrine, Tifa avait l'habitude de tomber facilement amoureuse des filles et difficilement des garçons...
Elle retomba aussitôt dans la réalité quand elle entendit les filles crier en coeur "ooooh comme il es mignon!!!!"
Elle son nez encore plus dans se bouqunin, se qui pourrait parraitre etre louche...

Ruina marchait dans les couloirs du pensionnat, rêveuse. Elle revenait de son cour d'histoire. Le professeur leur avait donné des devoirs pour la semaine suivante, et ils étaient supposés effectuer des recherches sur l'ère Meiji.

Elle repensait aux évenements de la semaine précédente. Elle avait rencontré un jeune homme merveilleux nommé Reita, qu'à sa grande déception elle n'avait pas recroisé depuis.
Elle arriva enfin devant la porte de la bibliothèque, et y entra.

Elle marchait dans les rayonnages, le plus silencieusement possible.
Elle entendit des filles glousser devant un petit garçon fort mignon, mais ne s'en préoccupa pas. Elle passa devant une fille qui avait le nez plongé dans un livre de science, dans une attitude un peu suspecte. Elle n'y preta pas plus d'attention.

Elle bifurqua dans un rayon, et rougit brusquement. Il y avait là deux personnes en train de s'embrasser. Ou plutôt, le jeune homme embrassait la jeune femme sur le front. Ils ne l'avait pas encore vue, et Ruina n'osait pas s'avançer. Finalement, elle prit son courage à deux mains et s'approcha. Elle dit d'une voix timide et gênée, les joues rougies :

"Excusez-moi, je suis navrée mais... le livre que je cherche se trouve dans ce rayon..."

Elle plaqua la main sur sa bouche, rougit encore plus de son impertinence et baissa la tête. Elle ne voulait vraiment pas paraître impolie....

Beaucoup de personnes arrivèrent et Guren n'aimait pas beaucoup ça, il vit passé une fille très dénudé et plutôt jolie, un nain blond avec un tête de gamin...et, Ruina qui rougissait devant lui...il ne savait quoi dire et quoi faire, il s'avança vers elle , il faisait 1m97 et Ruina était toute petite quand il arriva devant elle, il baissa la tête et la souvela de ses long bras avec un regard sans expression, puis fit un large sourrire.

"Tu as bien grandis Mlle Arcana-sama, vous ressemblez de plus en plus a votre jolie mère."

Il réalisa qu'elle n'était qu'un enfant de 4 ans quand elle l'avait vu et il la reposa aussitôt aussi doucement et déliquatement qu'il puisse faire. Il lui fit une révérence et lui baisa la main.

"Vous ne devez plus vous souvenirs de moi, quand vous jouiez chez votre grand père...vous etes une des rares personnes a ne pas avoir eut peur de moi...enfin pour ceux qui me connaisse réellement..."

Il avait totalement oublier d'etre discret sur le faite qu'il soit ici....

"Vous voulez des livres, lequels l'ère Meiji, je connais par coeur ce temps là, je vous conseil, celui-ci et celui-là."

Il lui les tendit avec un grand sourrire, et puis il cligna des yeux et garda les livres.

"Je vais vous les portez, vous voulez qu'elle table ? Il y a du monde..je vais vous en libérer une."

Il partit chassez de sa grande taille et de ses yeux jaunes des étudiants qui discutait de jeux vidéo sur une des plus grandes tables.
Il revint et l'entraina jusqu'a la table, il posa les livres sur celle-ci puis se retourna vers elle.

"Je vais vou laissez travailler, si vous avez besoin de moi n'hésiter pas, je serai vers la drôle de bibliothécaire."

Les joues rougies et les yeux grands ouverts, Yumi regarda s'éloigner son grand inconnu avec une jeune fille, qu'il avait l'air de bien connaître.
Elle n'était pas génée par ce qu'il venait de faire et de dire, plutôt flatée. Ce n'est pas tous les jours que l'on vous dit que vous sentez bon! Et puis son baiser avait été si doux...s'était d'ailleurs très étrange pour un "homme" comme lui, mais plaisant.

Elle l'observa en train de conduire cette élève vers une table, des livres à la main. Il était en train de faire son travail! Yumi souria, c'était drôle de les voir, lui si grand et l'adolescente si petite.
Il finit par revenir vers elle. Elle lui souria de plus belle, penchant la tête sur le côté. Puis d'un petit air coquin lui dit :

"Je vais devoir vous rendre votre baiser...mais plus tard! Avant j'ai un petit quelque chose à faire. Je reviens tout de suite!"

Avec tout ce qui c'était passé, elle avait à peine remarquée tout le remus ménage qui s'était installé dans sa bibliothéque, ce qui n'était pas très sérieux pour son premier jour de travail.
Yumi se retourna et pris le micro qui était à sa disposition sur le comptoir. Elle appuya sur le gros bouton pour l'actionner et d'une voix posée mais cependant redoutable...

"Je voudrais rappeller à nos élèves que nous sommes ici dans une bibliothéque. Et qu'il y a un salon et un parc pour tout ceux désirant discuter. Tout élèves ,surpris à faire le moindre bruit, sera sanctionné. Merci de votre compréhension."

Le fond sonore diminua dans la salle et quelques élèves sortirent en catimini de la bibliothéque, mais ce n'était pas à cause de la déclaration de Yumi, loin de là. C'était plus tôt parce que les élèves avait repérés que le surveillant du pensionnat, à la stature imposante, était présent dans la pièce.
Tout de même, fière d'elle, la jeune femme revint vers sa nouvelle connaissance.

"Au fait je ne vous ai même pas demander votre prénom, ni votre profession! Vous n'êtes surement pas élève! Moi je m'appelle Zurui Kitsune!"

Elle lui souria et pris son air le plus adorable.

Tifa regardait tout ce remue ménage et ne trouvait de plus en lus étrange de pensionnat...l'homme aux yeux jaune était le plus bizard a ses yeux.., elle décida de se mettre plus dans la rangée de livre et se cogna contre quelqu'un avec une cape.

"Oups escuez moi je suis désolé je ne regardait pas où je mettai les pieds..."

Elle essaya de dévisager la personne..fille ou garçon, Tifa se pencha légèrement pour voir sous la capuche mais trouvant ça grossier se redressa en faisant un sourrire géné.


"Pardon, je suis très curieuse et je me demandais si tu était un homme ou une fille...dit moi qui est ce drôle d'homme aux yeux jaunes?"

Elle re-entendit les filles qui étaient près de Mitsukuni et sans le vouloire elle trébucha sur la personne avec la capuche et se retrouva sur celle-ci.
Tifa se sentait vraiment honteuse et son coeur battait la chamade car elle avait bien sentit que c'était une fille...puisqu'elle sentait sa poitrine contre la sienne.
Elle se relva assise sur ses genoux les fesses entre, et s'escusa de nouveau de sa maladresse.

Soudain, le jeune homme la souleva dans ses bras. Ruina poussa un cri de frayeur.

**Mais qu'est ce qu'il fait ??**

Elle était terrorisée, de cet homme inconnu qu'il l'attrapait ainsi. Il lui sourit et elle eut une impression bizarre. Il lui dit qu'elle n'allait sûrement pas le reconnaitre, etc...
Il fit tout un petit manège, attrapa des livres pour elle, libéra des tables en menaçant les élèves... Ruina prit alors un air sévère, et légèrement énervée, cria dans la bibliothèque :

"Mais qu'est ce que c'est que tout ce cirque ?? Je ne vous connais pas !"

Elle ne fit pas attention à tous les regards qui convergaient vers elle. Elle avait les poings serrés, et ses yeux lançaient des éclairs. Ruina, jeune fille si douce, se mettait en colère. Alors le jeune homme lui expliqua qu'il l'avait vue un jour jouer chez son grand père, quand elle était enfant.
Elle resta un moment sans rien dire, plongée dans ses pensées, fouillant dans ses souvenirs.

Elle se rappelait le pavillon de son grand père, dans la campagne japonaise.... le grand jardin avec le saule pleureur.... Ruina jouant avec Kéret...

C'était un après-midi de printemps, ensoleillé. Ruina écartait les rideaux de feuilles du saule en fleur, et aperçut un homme, tout près. Il lui semblait qu'il portait des taches de sang, maculant des vêtements étranges...
L'homme s'approcha, et Ruina lui sourit.

"C'est vous ? C'est si loin... je... je ne me souviens pas trop... quel est votre nom, déjà ?"

Le jour qu’attendais Mitsukuni avec impatience était enfin arrivé : celui de son entrée à Yume no Tsuki. Une grande école en plein cœur de Kyoto, le tout en internat, que rêvé de mieux ? Le fait d’être avec Tifa, ce qui faisait également parti du programme des réjouissances. Il va donc sans dire qu’il était d’excellente humeur. En sortant de la limousine qui avaient conduit les deux jeunes gens jusqu’à leur nouvelle école, Tifa était partie en courant comme une flèche pour échapper à son cousin. Ce dernier se fichait un peu, il la retrouverait bientôt… Il traîna donc sa valise jusque dans sa chambre avant de redescendre à la recherche de sa « Onee-chan ». Il poussa au hasard la première porte qu’il trouva et tomba sur la bibliothèque. Il avisa aussitôt un groupe de jeunes filles qui papotaient et qui pourraient peut-être le renseigner sur le lieu où se trouvait Tifa. Il en attrapa une par la manche et tira un peu pour attirer son attention.

« Dis, j’ai perdu ma Tifa onee-chan, tu sais pas où elle est ? »

Il avait dit ça avec ses grand yeux mouillés de petit garçon perdu.

« KYAAAAAAAAAAAAAA ! Oh t’est trop mignon toi tu sais ! Elle ressemble à quoi ta grande sœur ? Eh les filles ! On l’aide à la chercher hein ?
- Oui, il est adoraaaaaaaable ! Bien sûr qu’on va t’aider !
- Bah elle est grande, brune, et elle est très gentille et… Ah c’est bon, je l’ai trouvée, c’est la fille qui vient de tomber là-bas ! »

Sans autre forme de procès, Mitsukuni contourna le groupe de fille et se jeta sur Tifa, la faisant tomber et du coup libérant la jeune fille sur qui elle était tombée

« TIFA ONEE-CHAAAAAAAAAAAAN ! C’est pas gentil de me laisser tout seul, et si je m’étais perdu hein ? »

Les filles de tout à l’heure observait la scène avec le plus grand intérêt, d’ailleurs proche de celui de la fan-girl en puissance…

Tifa eut un méger frisson et vit une masse sombre d'abbatre sur elle, avec ce parfum..elle ferma les yeux et attendit les mots fatidiques...

""TIFA ONEE-CHAAAAAAAAAAAAN.."

Tifa fit une tête dépitée et regard en bié les filles qui mattaient son cousin...elle tenta de l'enlever de force mais impossible, il était irrémédiablement accroché a elle, et plus précisément a son haut en cuire...qui s'étirait un peu trop a son gout....aussitôt de nombreux homme se levait pour voir se spectacle...
Qu'elle entrée dans leur nouveau pensionnat.....

"Lâche moi, mais lâche moi je te dit !!! Espèce de sangsu !!! Mitsukuni tu as qu'elle âge !!! Et je suis pas ta "oneechan" je suis pas ta soeur!"

Elle le regard froidement et pris son lapin des mains, chose a ne pas faire quand on est pas Tifa..et le lança a l'autre bout de la pièce sous les yeux choqués de Mitsukuni qui n'allaient pas tarder a etre baignés de larmes...
Elle put enfin se dégager et elle se leva, les yeux si triste de Litsukni lui fit de la peine, elle tenta de se retenir en se mordiallant la lèvre...elle soupira et traversa toute la bibliothèque ne manquant pas de s'éscuser auprès de la demoiselle qui surveillait celle-ci et alla ramasser la peluche en se baissant un peu trop, et l'on put voir les magnifique forme de Tifa, devant et derrière a cause du cuire...
Elle soupirait a chaque pas et retourna a la hauteur de Mitsukuni, faisant tombé le lapin dans ses mains, le regard sur le côté, Tifa balbutia, un "désolé" un peu maladroit.

Guren qui s'attendait a la réaction de Ruina eut un petit rire, il se dirigea avec elle vers la bibliothécaire.

"Puisque vous deux me demander comment je me nomme, jça ira plus vite,je me nomme: Guren Touda enchantez mesdemoiselles."

Il leur baisa la main a chacune avec une douceure qui pouvait les surprendre vu que Guren était plutôt une brute et ça se voyait.
Il dit a l'oreille de Zurui, qu'il attendait avec hate de bisou qu'elle lui devait, puis il s'amusa avec les joues de Ruina, comme un père sur son enfant.

"Vous etes vraiment ausi pure que votre grand père me l'avait dit, je me reppale encore quand vous vous etes endormie une fois sue mon ventre, c'était une journée magnifique et la seule que j'ai eut avec vous dailleur..."

Flash back==>



Guren perdu dans ces flash back, fit un énorme gaté a Ruina.

"Vous etiez si mignone !!!!!! Rhem escusez Mlle Ruina-sama...je me suis mis a votre place pardonnez moi...je suis qu'un humble serviteur de votre grand père...j'était pas censé le dire .... mais bon vous auriez deviné ^^"

Il n'avait pas vu qu'il avait posé sa main après sur l'épaule de Zurui, quand il le remarqua il s'escusa bien bas de son impolitesse.

En retour Zurui lui sourit, tout en se frottant l'épaule, c'est que la main de ce géant étaitun peu lourde sur les frêles épaules de la bibliothécaire. Elle avait beau être costaud pour sa taille cela n'empéchais pas de se faire écraser surtout sous tant de muscle.

"Ne vous excusez pas! Si cela m'avait géner je vous l'aurez dit."

De plus elle n'aurait pas oser le déranger dans cette intense réflexion, qui lui avait laissée passer un léger sourire sur son visage.
Sa manière de regarder cette jeune fille pour qui il avait l'air d'avoir beaucoup de respect et d'amour, était si attendrissante.
Yumi ne pouvait s'empécher de sourire bêtement devant ce spectacle. Elle adorait cette image attendrissante d'amour familiale et de souvenir doux comme des bonbons. Jamais elle ne se lassais d'observer les mères et leurs enfants dans les parcs ou à la sortie des écoles.

*C'est que lorsqu'on est pas humain et qu'on sort de la terre, on aimerait bien avoir une famille aussi. Quelqu'un qui puisse vous comprendre et se trouver à vos côtés. Mais chez les mortels c'est impossible, ils finissent tous par mourir un jour ou l'autre ce qui n'est pas pratique pour s'attacher....*

Yumi en était venu à un stade de pensée dans le genre déprimant, le regard perdu sur le rayonnage, elle ne faisait plus du tout attention au reste de la discussion et des larmes montaient et mouillaient ses grands yeux noirs. Mais elle ne les arrêtaient pas, jamais elle n'avait compris ce que c'était que cette eau au goût salé qui coulait sur ses joues, alors elle les laissaient couler sans y faire attention. Cela arrivait si rarement...

Quand Guren se retourna vers la jeune fille aux cheveux rouge des larmes coulait sur les jolies joues rosit. Il ne sait pas pourquoi mais un sentiment de douleur l'envahit de voir cette femme pleurer..il ne sait pas pourquoi il la pris dans ses bras, il la serra doucement contre sa poitrine lui carressant les cheveux.

"Pourquoi pleur tu ? es-tu triste ? qui ta rendu triste que je lui botte les fesses!"

Guren fonctionnait instinctivement et par moment sa pensée ne suivait pas les gestes, il ne conaissait pas vraiment la gentillesse, et grâce a ces deux femmes il commençait a apprendre de nouvelle façon de faire et penser.
Il lui leva encore une fois le menton et essuya de ses grands doigts les larmes qui perlaient sur le visage de Zurui. Il la regardait dans les yeux comme si il voulait la comprendre, la connaitre pour la protégé de ce qui l'avait fait pleurer.
Les reflets du couché de soleil brillaient sur le visage et les cheveux rouge de Guren et de Zurui tel une magnifique apparition.

Guren était émerveiller par ces jolies reflets sur les cheveux de Zurui, on aurait cru un ange de feu, ses grand yeux n'était plus rempli de larmes et le coeur de Guren en fut soulager, il lui carressa le front en touchant la pointe de ses cheveux, elle était si douce.
Il la souleva comme une plume et la pris dans ses bras, il lui fit un sourrire mélancolique tout en la regardant.

"Tu te sentais seule depuis tout ce temps Zurui ? Maintenant tu n'es plus seule, regarde autour de toi nous sommes tous là, et moi le premier."

Il lui sourrit et lui toucha le bout du nez, il était totalement différent mais un lien étrange les réunissaient.
Il ne sait pas pourquoi mais pour la première fois il suivit son coeur et déposa un baiser sur les lèvres encore mouillées par les larmes et salées de la jeune fille.
Il retira ses lèvres encore sous le charme, puis réalisa ce qu'il venait de faire et la déposa doucement a terre, aussi rouge que ses cheveux, ne sachant plus quoi dire, regardant dans tout les sens sauf devant lui.

Comme l'avait prédit Tifa, Mitsukuni fondit en larme quand celle-ci s'empara de son lapinou. Ce n'était pas très dur à deviner en même temps... Enfin toujours est-il qu'un Hani éploré au milieu d'une bibliothèque, ça fait du bruit. Cela dépasse même largement le volument sonore habituellement toléré en ces lieux. De ce fait, plusieurs personnes s'approchèrent pour voir ce qui se passait : les filles pouvaient regarder cet adorable bambin martirisé et les garçon cette charmante jeune fille aux habits de cuirs si... courts. Finalement, tout le monde en avait pour son compte, et dès leur entrée, les deux cousins se faisaient largement remarqué. Ce qui était loin de déplaire à Mitsukuni, loin de là. Au contraire, cela l'arrangeait plutôt... Il aimait bien avoir des gens autour de lui, surtout des filles.

Finalement ses pleurs durent convaincre Tifa, puisqu'elle partit chercher le lapin qu'elle avait cruellement ejecté quelques minutes plus tôt. A cette occasion, les étudiants de sexe masculin (et quelques filles qui semblaient de ce bord là aussi d'ailleurs) purent admirer à leur aise les belles formes de la jeune fille. Forcement, en s'habillant de la sorte, elle allait avoir du mal à passer inaperçue si c'était ce qu'elle voulait. Mitsukuni pendant ce temps continuait de pleurer la disparition de sa peluche, espérant qu'une jolie jeune fille viendrait le consoler. Mais c'est Tifa qui apparut devant lui et lui rendit son lapin, avec un « désolée » maladroit...



« Tifa 'nee-chan ? »

Il était plutôt surpris. Tifa ne s'excusait jamais, ô grand jamais d'habitude. C'était vraiment une bonne chose qu'ils soient tous les deux dans cette école. Alors finalement il lui sauta dans les bras pour lui faire un gros bisou sur la joue, même si elle n'avait pas l'air vraiment d'accord.

« Merciiiiiiiiiiiiiiii Tifa onee-chan ! »

Pour la deuxième fois en dix minutes, Tifa du se battre contre son diable de cousin pour finalement arriver à le décoller (ou qu'il consente à la lâcher, c'est un peu flou). Il partit donc chercher la grosse valise que sa cousine avait laissé au pied de sa table et la souleva sans effort, ce qui ne manqua pas d'étonner quelques unes des filles présentes.

« Bon, je vais te monter ta valise pour te remercier ! »

Mitsukuni avait légèrement oublié qu'il n'aurait sûrement pas le droit d'entrer dans les chambres des filles mais bon...

Quand Tifa passait et repassait devant les personnes de la bibliothèque elle n'oubliait pas de faire bouger ses hanches de manières sexy, oui comme son cousin elle aimait qu'on la regarde, et aimait surtout se servir des autres, enfin de ceux qu'elle trouve in-interressant.
Comme elle put s'y attendre, Mitsukuni lui sauta dessus et au bout de 10 minutes de luttes acharné pendant que d'autre s'embrassait...elle dû essayer de le décoller, puis peut etre une idée subite lui passant dans le minuscule cerveau qu'avait Mitsukuni, il décida de la lacher, pour prendreles affaires de sa cher cousine et directement aller dans son dortoire.
Elle avait bien envi de le laisser faire mais bon il aurait été gronder si quelqu'un l'aurait vu dans le dortoire des filles, elle dû a contre coeur l'accompagné en prenant le moins d'affaire possible, tout en s'amusant a le décoiffer et par moment al ui prendre sa peluche.

Ils sortirent de la salle, toujours aussi bruyament et regarder pas des hommes et des femmes...
Dailleur Tifa n'avait pas encore trouver l'amour dans ce tas de personnes et puis elle avait le temps et elle était loin de se préoccuper de cela..elle voulait devenir plus forte que son satané cousin...et opui le dôjo de la famille de Tifa est dévoué pour l'éternité a celui de son cousin, normalement ils doivent etre comme des domestiques pour la famille de Mitsukuni mais les temps changent et heureusement pour Tifa, en pensant a cela elle ne put s'empêcher de soupirer.